Nous suivons de nouveau le récit de Gustave Monod qui consacre le deuxième chapitre de son livre La famille Monod (1890) à l’ascendance de son père. Vous pouvez le télécharger en cliquant ici.
Là encore, une personnalité se détache du reste : Gaspard Joël Monod (1717-1782), le père de Jean Monod. Malheureusement, je ne dispose d’aucun portrait de cet homme, formé au pastorat à Genève et qui est devenu par la suite chapelain du gouverneur anglais et pasteur de l’Église réformée française à la Guadeloupe. Obligé de quitter l’île, retombée au pouvoir des Français par la signature du Traité de Paris (1763), il revient à Genève et se consacre à la littérature, et en particulier à des traductions de l’anglais.
Là encore, une personnalité se détache du reste : Gaspard Joël Monod (1717-1782), le père de Jean Monod. Malheureusement, je ne dispose d’aucun portrait de cet homme, formé au pastorat à Genève et qui est devenu par la suite chapelain du gouverneur anglais et pasteur de l’Église réformée française à la Guadeloupe. Obligé de quitter l’île, retombée au pouvoir des Français par la signature du Traité de Paris (1763), il revient à Genève et se consacre à la littérature, et en particulier à des traductions de l’anglais.
Le chapitre est également intéressant parce qu’il décrit les liens de parenté des Monod avec les Puerari que l’on croise souvent dans les Annales de la famille Monod.
Aussi publié sur mon site (ici).
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